À Charles Spon, le 27 août 1658

Note [32]

« Quel bourg, en effet, ne regorge point de ces austères et funestes vauriens et de ces souffleurs, qui infectent toutes choses par la puanteur de leurs charbons ? » Le début est de Juvénal : Quis enim non vicus abundat tristibus obscænis ? (Satire ii, vers 8‑9).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 27 août 1658, note 32.

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(Consulté le 26/04/2024)

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