À André Falconet, le 17 juin 1660
Note [4]
« S. » dans Bulderen, que Reveillé-Parise a curieusement traduit par « sermon », en dépit du contexte.
Outre son épouse et celle de son fils aîné, Robert (marié le 31 mai 1660 à Catherine Barré), Guy Patin parlait ici de deux belles-sœurs, qui devaient être sœurs ou belles-sœurs de son épouse, née Jeanne de Janson ; il a écrit dans sa lettre du 30 janvier 1652 à Charles Spon qu’il avait racheté à ses deux beaux-frères leurs parts dans sa maison des champs de Cormeilles.