À André Falconet, le 10 août 1660
Note [5]
Tomás Puellez est honoré d’une courte entrée dans Éloy, mais on n’y lit rien de plus que ce qu’en disait ici Guy Patin ; il a plus tard mentionné avec fierté les cordiaux entretiens qu’il a eus avec lui, et sa mort à Fontainebleau en 1661 ; je n’ai trouvé aucun ouvrage imprimé laissé par Puellez.