À André Falconet, le 5 octobre 1660
Note [4]
« et c’est pourquoi quelques-uns croient qu’il ne passera pas la fin de l’hiver ; ajoutez, ce qui est bien plus, après une maladie si opiniâtre, qu’on a pour lui fortement à craindre du calcul ou des douleurs néphrétiques qui, la plupart du temps, succèdent à la podagre, la chiragre et la gonagre. »
La gonagre est la goutte (arthrite aiguë) du genou, tout comme la podagre est celle du pied, et la chiragre celle de la main (v. note [30], lettre 99).