À André Falconet, le 16 octobre 1660
Note [12]
« ce que vous m’avez dit, vous l’avez dit à un tombeau. »
La perte de mémoire dont souffrait Pierre Guillemin (v. lettre du 11 octobre précédent à André Falconet) était le témoin probable d’une démence sénile qui avait dû le conduire à commettre quelque extravagance.