À André Falconet, le 29 décembre 1660
Note [5]
L’édition Bulderen donne …decoctum cæparum, avec cette traduction, « de la soupe à l’oignon aux ivrognes ? ».
Il m’a paru bon de restituer le titre original (…iusculum capparum, du bouillon de câpres) fourni par Baron (v. supra note [3]) : Thomas Corneille dit en effet des câpres qu’elles « purgent et nettoient les phlegmes qui sont dans l’estomac, et désopilent [évacuent] le foie et la rate » ; mais à la décharge de Bulderen, Furetière dit qu’« une soupe à l’oignon refait la tête d’un ivrogne ».