« On donne des arrêts de défenses particulières pour lier les mains à des juges ou à des officiers, pour empêcher qu’ils ne continuent l’instruction d’un procès, l’exécution d’un jugement » (Furetière).
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Lettre de Guy Patin à André Falconet, le 17 mai 1661, note 3.
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(Consulté le 22.03.2023)