À André Falconet, le 28 avril 1665
Note [12]
Je n’ai rien trouvé pour éclairer les allusions médisantes de Guy Patin à propos de Michel Ferrand (v. note [14], lettre 287). Il a corrigé la fausse nouvelle de sa mort dans sa lettre suivante à André Falconet.
Quand on n’en fait pas un jeu de mots, la ferrandine est une « étoffe légère dont toute la chaîne est de soie, mais qui est tramée de laine, qui diffère en cela du pou-de-soie [grosse étoffe toute de soie, tout unie et sans lustre], dont la chaîne et la trame sont tout de soie » (Furetière).