À André Falconet, le 31 mai 1667
Note [3]
Le Nouveau Testament de Notre Seigneur Jésus-Christ, traduit en français {a} selon l’édition Vulgate, {b} avec les différences du grec. {c}
- Par Louis-Isaac Le Maistre de Sacy (v. note [5], lettre 867), alors emprisonné à la Bastille depuis le 26 mai 1666, qui n’en fut libéré que le 31 octobre 1668.
- Traduction du grec en latine établie par saint Jérôme au début du ive s., v. note [6], lettre 183.
- Mons, Gaspard Migeot (imprimé à Amsterdam, Elsevier), 1667, in‑8o, avec permission de l’archevêque de Cambrai, approbations de l’évêque de Namur et de l’Université de Louvain, et privilège du roi Charles ii d’Espagne : volume 1 (quatre Évangiles et Actes des apôtres, 538 pages) ; volume 2 (Épîtres de saint Paul, Épîtres canoniques, Apocalypse, 462 pages).
Cette publication fut sanctionnée par un Arrêt du Conseil d’État contre la traduction du Nouveau Testament imprimé à Mons. Du 22 novembre 1667 (Paris, Imprimerie et librairie du roi, 1667) qui fut précédé et suivi d’une floraison de libelles :