À Charles Spon, le 17 octobre 1667
Note [10]
« pour lui, ciel et enfers n’étaient que fables. »
L’empyrée « est le plus haut des cieux où les bienheureux jouissent de la vision de Dieu, qu’on nomme autrement le paradis. Le ciel empyrée, ou absolument l’empyrée. Ce mot est dérivé du grec pyr, qui signifie feu, à cause de sa splendeur et de sa lumière » (Furetière).