À Charles Spon, le 4 août 1668
Note [5]
« Je vous salue, ainsi que votre femme et toute la famille. Vive et vale, et aimez-moi.
Vôtre de tout cœur, Guy Patin. À Paris, ce 4e d’août 1668. » V. note [2], lettre 932, pour la Febrilogia [Étude des fièvres] de Juan Lazaro Gutiérrez (Lyon, 1668).