À Hugues II de Salins, les 25 et 31 janvier 1656

Note [10]

« sauf en cas de soif pressante, il est préférable de ne pas boire après, pour éviter d’empêcher l’action du médicament et d’en détourner la nature ; mais quand le malade a pris un cathartique, quel qu’il soit, il est autorisé de se rendormir aussitôt, quoi que dégoise et raconte le commun des apothicaires sur ce sujet. »


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, les 25 et 31 janvier 1656, note 10.

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(Consulté le 06/05/2024)

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