À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656

Note [8]

« car je crains les Grecs, même quand ils portent des cadeaux, car les traces de pas m’épouvantent », avec double référence poétique :

La troisième exigence de Guy Patin n’a de sens que si on y remplace Operum Hofmanni editorum [des œuvres publiées d’Hofmann] par inedirorum [inédites] : il savait que certaines copies des manuscrits qu’il avait achetés au prix fort existaient en Allemagne, et tenait absolument à conserver la primeur de ses originaux.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656, note 8.

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(Consulté le 27/04/2024)

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