À Franz Johann Wolfgang von Vorburg, le 20 avril 1663
Note [2]
« Heureux, dirais-tu, les siècles » ; Juvénal (Satire iii, vers 312‑314) :
Felices proavorum atavos, felicia dicas
[Heureux les trisaïeuls de nos bisaïeuls, heureux, dirais-tu, les siècles qui, jadis sous les rois comme sous les tribuns, ont vu Rome se contenter d’une seule prison].
sæcula quæ quondam sub regibus atque tribunis
viderunt uno contentam carcere Romam.