À Christiaen Utenbogard, le 28 décembre 1663
Note [5]
Le mot adapturum du manuscrit n’ayant pas de sens en latin, je l’ai tenu pour une inattention du scribe de Guy Patin, qui aurait dû écrire adaperturum (radical du supin du verbe adaperire, découvrir).
V. note [74], lettre 332, pour le « Jardin royal de Blois » d’Abel Brunier (Paris, 1653 et 1655) et pour son maître Gaston d’Orléans (mort en 1660).