À Henrik von Möinichem, le 10 décembre 1664
Note [5]
Du grec boubôn (aine) et kêlê (hernie), le bubonocèle (substantif masculin) était un autre nom de la hernie inguinale (scrotale, v. note [5], lettre de Charles Spon, datée du 6 avril 1657).
Autre forme de hernie abdominale, l’épiplocèle (substantif féminin) se distingue non pas par sa localisation, mais par son contenu : il ne s’agit pas d’une anse intestinale (entérocèle, v. note [1], lettre latine 361), mais de péritoine (épiploon) ; il en résulte que l’épiplocèle est molle et inégale, et n’émet pas de gargouillement quand on la palpe.