À Georg Friedrich Lorenz, le 4 juin 1665
Note [14]
« un songe issu de la porte d’ivoire », c’est-à-dire du monde souterrain (Virgile, v. note [5], lettre latine 232).
V. supra note [12], pour les profondes incertitudes sur l’existence d’un livre de Jean Argentier sur les erreurs de médecins.