À Johann Georg Volckamer, le 28 août 1665

Note [5]

Phrase entre accolades que Guy Patin a barrée dans son manuscrit car il répétait ce qu’il avait écrit quatre lignes plus haut. Je l’ai quand même traduite parce qu’il l’a reprise mot pour mot dans sa lettre latine suivante, datée du même jour, adressée à Werner Rolfinck (v. sa note [2]).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Georg Volckamer, le 28 août 1665, note 5.

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(Consulté le 06/05/2024)

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