À Sebastian Scheffer, le 29 octobre 1668
Note [7]
Ejus absentia me torquet, sed Deus nobis aderit, eumque iterum videbo : c’est la plus poignante confidence de Guy Patin sur les déboires de Carolus ; il n’eut jamais la joie d’embrasser à nouveau son plus cher fils.
Ici comme ailleurs dans les lettres latines écrites après 1667, il est frappant de voir comme Patin a souvent évoqué l’exil de Charles, dont il a très peu écrit dans ses lettres françaises qui ont survécu au temps. Deux raison me semblent à invoquer :