À Johann Georg Richter, le 26 janvier 1669
Note [2]
Bien qu’il ait souvent accueilli les enfants de ses correspondants, Guy Patin n’a jamais été aussi précis sur les frais de séjour d’un étudiant à Paris : la mensualité était rondelette, mais devait garantir à l’hôte les meilleures conditions d’existence quotidienne. La manière comptable dont Patin en écrivait laisse planer le doute sur son intention de couvrir lui-même ces dépenses.
La suite de la Correspondance ne permet pas de savoir si Johann Georg Richter donna une suite au projet d’envoyer son fils parfaire sa connaissance du droit en France.