V. note [11], lettre latine 255, pour Janus Rosenkrantz (Rosecrans dans le manuscrit), malade à Paris en août 1663 ; mais Guy Patin n’a jamais précédemment mentionné son compatriote nommé Douë.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Thomas Bartholin, le 1er avril 1669, note 8.