À Pierre Gassendi, le 29 juin 1655
Note [3]
Dans ses lettres françaises de 1655, Guy Patin a plusieurs fois répété sa prescription à Pierre Gassendi : repos, lait d’ânesse (le remède des convalescents), air pur de la campagne, mise en garde contre les rigueurs du prochain hiver (mais le malade n’eut pas à l’affronter car il mourut le 24 octobre 1655).
V. note [2], lettre 410, pour le séjour que fit Gassendi à Chevreuse en août 1655, dans la maison des champs de son ami Henri-Louis Habert de Montmor.