L’amnistie royale de 1681 (v. supra note [145]) lavait entièrement Charles Patin de sa condamnation et imposait, « sur ce, silence perpétuel à notre procureur général, à ses subsitituts et à tous autres ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Déboires de Carolus, note 150.