Note [42]
Dans les lettres de Guy Patin, une autre source massive d’emprunts latins découle des auteurs médicaux anciens (Hippocrate et Galien traduits du grec, Pline l’Ancien, Celse…) et modernes (Jean Fernel, Louis Duret, Caspar Hofmann…). Il en donnait presque toujours la référence fidèle, ce qui m’a très souvent permis de la retrouver.