Autres écrits : Le manuscrit 2007 de la Bibliothèque interuniversitaire de santé (recueil Peÿrilhe)
Note [54]
« où il n’apparaissait aucune fente, si petite que ce fût. »
Ayant renoncé à déchiffrer et traduire le latin de Guy Patin, qui est pourtant le plus éclatant et volumineux diamant du ms BIU Santé no 2007, Pierre Suë se réfugiait tristement dans ses fragments les moins ardus : il en venait à la 19e et dernière lettre (française) connue de Charles Spon (13 mai 1659), le correspondant de Patin dont l’élégante écriture est de très loin la plus facile à lire.
J’ai mis entre guillemets le passage que Suë en a extrait, en l’abrégeant et en y modifiant quelques expressions.