Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II
Note [68]
Les assiégés affamés de La Rochelle (1627-1628, v. note [27], lettre 183) sont réputés y avoir recouru.
De manière moins sensationnelle, Furetière appelle boudin le « boyau de porc empli de son sang et de sa graisse, dont on fait un mets bon à manger : celui-là s’appelle boudin noir ».