Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 3 manuscrit
Note [47]
« Garasse a voulu assouvir sa haine en s’exposant au péril de la peste » : manière fort cruelle d’interpréter, comme un suicide, l’abnégation et la pieuse mort de François Garasse.
Ce curieux portrait, qui le dépeint comme vénal, cynique et même athée, s’accorde mal avec les très vigoureux combats qu’il mena contre les libertins et les jansénistes, et lui valurent leur très profonde haine.
V. note [7], lettre 25, pour l’écrivain Jean-Louis Guez de Balzac, dont Garasse critiqua la plume et les mœurs.