Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 7 manuscrit
Note [62]
« “ Toute chair a corrompu son propre passage ici-bas ” […] » (Genèse, v. note [10], lettre 752).
Le Borboniana imprimé de 1751 a ici mis fin à son article xli (pages 281‑283), après en avoir supprimé les plus âpres passages, avec ce commentaire (note (a), page 283) :
« Ceci est outré. L’auteur convient plus haut qu’il y a de bons chrétiens. L’Église catholique n’en a jamais manqué, et n’en manquera jamais ; et c’est aussi dans ce sens qu’on l’appelle sanctam Ecclesiam Catholicam [sainte Église catholique]. »