L’auteur de cette triade (Guy Patin) y condamne nettement l’athéisme (libertinage érudit), en le mettant dans le même sac que la dépravation (libertinage des mœurs, cause de vérole) et que le crime punissable de mort.
« À moi la vengeance, c’est moi qui rétribuerai » : reprise du Deutéronome (32:35) par saint Paul (Épître aux Hébreux, 10:30).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Triades du Borboniana manuscrit, note 18.