Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647)
Note [47]
Ce passage emprunte à deux nouvelles sources antiques.
Vino nihil iucundius quispiam bibit :
hoc ægritudinem ad medendum invenerunt :
hoc hilaritatis dulce seminarium :
Hoc continet coagulum convivia.[Nul n’a jamais rien bu de plus agréable que le vin.
On l’a inventé pour remédier au chagrin.
Il est la douce semence de la gaieté.
Il est le ciment qui soude les banquets].