De Samuel Sorbière, non datée (début 1651)
Note [4]
Allusion aux portraits de savants illustres et bien-aimés que Guy Patin avait accrochés sur la grande poutre de son cabinet : v. sa lettre à André Falconet, datée du 2 décembre 1650.
Samuel Sorbière décrivait l’ancien cabinet de Patin, rue des Lavandières près de l’église Sainte-Opportune ; il ne pouvait pas encore connaître celui que Patin installait alors dans sa nouvelle maison, place du Chevalier du Guet.