De Claude II Belin, le 18 février 1657
Note [2]
« ce que Dieu veuille épargner à cette république, qui restera paisible et tranquille aussi longtemps qu’elle sera inaccessible à la troupe loyolitique. »
« On dit d’un affront sanglant qu’on a reçu, que c’est une tache d’huile, qu’elle ne s’en va jamais » (Furetière).