Charles Spon ménageait malicieusement à Guy Patin la surprise d’une visite que son épouse, Marie, née Seignoret, allait lui rendre à Paris.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Charles Spon, le 11 septembre 1657, note 1.