De Charles Challine, le 7 mars 1656
Note [4]
La correspondance (française ou latine) de Guy Patin ne fournit aucun indice sur ce livre dont il avait demandé la traduction à Charles Challine. Ce n’était pas du latin (que Patin maîtrisait parfaitement et dont il a souvent dit qu’il jugeait inutile, voire inepte de le traduire), mais d’une autre langue, morte ou vivante ; quoi qu’il en fût, elle devait être rare pour qu’il ne fît pas appel à ses autres connaissances que Challine (qu’il n’a jamais mentionné dans ses autres lettres) pour obtenir une version française de ce livre.