De Christiaen Utenbogard, le 21 août 1656
Note [62]
« vous êtes fort inquiet de l’état présent de mes affaires, pour savoir si je suis en vie, si je me porte bien » ; rappel des mots que Guy Patin avait employés au début de sa lettre du 2 juillet 1656 à Christiaen Utenbogard : de præsente rerum tuarum statu valde anxius, an nimirum vivas, an valeas.