De Christiaen Utenbogard, le 21 août 1656
Note [68]
Guy Patin a ajouté ces derniers mots, mis en italique. Redoutant les possibles indiscrétions de la censure et les foudres de Gisbertus Voetius, Christiaen Utenbogard avait jugé bon ne pas signer sa lettre.
Le ms BIUS 2007 conserve la réponse plutôt évasive de Patin à Utenbogard, le 2 février 1657.