Note [1] |
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« la vraie cause d’un tel ajournement est l’incertitude et le doute sur la maladie de l’empourpré [Mazarin] ; une fausse rumeur colporte la renommée et les vertus des eaux de Bourbon disant qu’elles ont guéri ce mal, sans y avoir concouru en aucune façon. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 3 août 1660, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0626&cln=1 (Consulté le 12/12/2024) |