Note [1] |
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Début de la pensée v, livre iv, des Pensées de Marc-Aurèle : {a} « La mort est, comme la naissance, un mystère de la nature », {a} dont la suite dit « combinaison dans l’une des mêmes éléments qui se séparent dans l’autre. En somme, rien dont on puisse être déshonoré, car mourir n’est pas contraire à la disposition d’un animal raisonnable ni à la logique de sa constitution. » |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 18 février 1661, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0671&cln=1 (Consulté le 05/06/2023) |