Note [1] |
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Même au prix du traitement énergique que Guy Patin avait administré à ce jeune homme, la rage (ou hydrophobie, v. note [2], lettre de Hugues ii de Salins, datée du 16 décembre 1656), une fois déclarée, est encore une infection constamment mortelle. Il s’agissait donc d’une autre maladie, soit une encéphalite aiguë, virale ou toxique, soit un délire aigu maniaque. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 30 juin 1665, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0826&cln=1 (Consulté le 05/11/2024) |