À Christiaen Utenbogard, le 6 février 1669, note 1.
Note [1]

« Meurt en quelque façon celui qui perd les siens », adaptation de Publilius Syrus (v. note [9], lettre 511).

Pour la traduction des premiers mots de la lettre, j’ai pris la liberté de modifier Propter te et teipsum [À cause de vous et de vous-même] (qui est dans le manuscrit et dans la lettre imprimée, mais qui n’a pas grand sens) par Propter se et te ipsum [À cause d’elle et de vous-même].

La défunte sœur de Christiaen Utenbogard n’était pas Margaretha, épouse de Jan ii van Heurne, car elle mourut en 1674 (v. note [1], lettre 680).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Christiaen Utenbogard, le 6 février 1669, note 1.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1496&cln=1

(Consulté le 28/03/2024)

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