Note [10] |
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Le libre commerce du tabac était alors assuré par les herboristes et droguistes, concurrents ouverts des pharmaciens (apothicaires) car ils vendaient au public des remèdes végétaux simples et peu coûteux ; ceux que recommandaient notamment le Médecin charitable ou le Traité de la Conservation de santé, si chers à Guy Patin. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656, note 10.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1086&cln=10 (Consulté le 09/12/2024) |