À Charles Spon, le 12 décembre 1642, note 11.
Note [11]

« preuve très certaine du pus caché à l’intérieur, surtout dans un corps tout à fait diminué et épuisé. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 12 décembre 1642, note 11.

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(Consulté le 28/03/2024)

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