Note [11] |
|
« il est pourtant reconnu ». Guy Patin évoquait la Harangue faite au roi et à la reine par M. Talon, avocat général, à l’entrée du Parlement après la Saint-Martin, l’an 1648 (Lyon, J. Justet, 1648, in‑12). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 janvier 1649, note 11.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0164&cln=11 (Consulté le 10/12/2024) |