Note [11] |
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La suite de la lettre, où Guy Patin retrouvait son ton ordinaire, montre qu’il était inquiet et décontenancé, mais non pas abattu : sans doute croyait-il alors que ses relations haut placées au Parlement aideraient son cher Carolus à se tirer d’affaire. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 7 mars 1668, note 11.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0930&cln=11 (Consulté le 28/05/2023) |