Note [12] |
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Emunctæ naris se lit dans les Satires d’Horace (livre i, poème iv, vers 8) : c’est avoir le nez bien mouché, bien dégagé, et percevoir les odeurs les plus subtiles ; en opposition avec obesæ naris (Horace, Épodes, xii, vers 3) avoir le nez chargé, bouché, et ne rien sentir. Les sens figurés s’en déduisent sans peine. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolaas Heinsius, le 8 janvier 1647, note 12.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1043&cln=12 (Consulté le 03/10/2024) |