Note [2] |
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« vous l’avez dit à un tombeau ». Fidèle à sa promesse, Guy Patin a gardé pour lui l’identité de ce médecin du Collège de Lyon qui avait « été pris » à Vichy, c’est-à-dire frappé d’une crise d’épilepsie, maladie tenue pour honteuse à l’époque. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 27 juin 1651, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0263&cln=2 (Consulté le 02/06/2023) |