Note [2] |
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« Le chevalier toscan {a} sourit à l’infortuné et écarta la méchante indigence, à qui il commanda de fuir aussitôt » : Martial {b} chante le malheur du jeune Virgile, qu’il surnomme Tityre, qui pleure la perte du troupeau qu’on lui a ravi ; Mécène le console alors et le sort de la misère, lui disant, Accipe divitias et vatum maximus esto. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 22 décembre 1665, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0851&cln=2 (Consulté le 04/10/2024) |