À Charles Spon, le 26 juillet 1650, note 3.
Note [3]

« On mit tout l’art de soigner dans la bataille, mais le fléau dépassait les recours et les anéantissait » (Ovide, Métamorphoses, livre vii, vers 526‑527, sur la peste d’Égine).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 26 juillet 1650, note 3.

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(Consulté le 20/04/2024)

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