Note [3] |
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« Il m’est pénible de vous écrire ces choses, j’écris pourtant ». Il est impossible de dire avec assurance qui était la relation d’André Falconet à qui arrivaient ces mésaventures. Toutefois, la touchante compassion de Guy Patin fait penser à une personne très proche de Falconet, qui pouvait être son frère, le prêtre, alors en butte à de grands tracas en raison de son « libertinage » (v. note [4], lettre 730). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 23 septembre 1661, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0714&cln=3 (Consulté le 02/12/2024) |