Note [3] |
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V. note [64], lettre 101, pour le Nez pourri de Théophraste Renaudot. Guy Patin se plaisait ici à écorcher son prénom en Cacophraste : procédé qu’il a pareillement appliqué à Paracelse (Philipp Theophrast von Hohenheim), v. note [3], lettre latine 94 (avec l’explication sémantique de ce sarcastique jeu de mots). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 4 décembre 1665, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0849&cln=3 (Consulté le 12/11/2024) |